Quand je suis dans une espèce de solitude
J’ai le coeur à l’envers
Vers où ? Vers qui ?
Je ne sais pas
Le temps passe
Et je ne sais pas
Ses pas !
Mais oui, voilà !
Ce sont ses pas qui me manquent
Ses pieds nus dans le sable humide
Humide comme mes yeux, mon coeur
Et mon être tout entier
Quand donc aurai-je fini de pleurer ?
Extrait d’un atelier d’écriture “Faire de sa blessure une douce énergie”
Par l’association Adep 56 “Accompagner le deuil périnatal”
Rapporté par Cécile Darcourt, ReverPourAllerBien.com
Parce qu’une vie, aussi brève soit-elle, laisse son empreinte.