« Tu meurs à quarante-quatre ans, c’est jeune. Aurais-tu vécu mille ans ? J’aurais dit la même chose : tu avais la jeunesse en toi, pour toi. Ce que j’appelle jeune, c’est vie, vie absolue, vie confondue de désespoir, d’amour et de gaieté… »
Christian Bobin veille pour nous sur le trésor des mots. Son attention exceptionnelle aux gens et aux choses le pousse à garder ses distances avec le monde, mais ses livres sont des petits bijoux d’humanité et de poésie.