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Apprivoiser l’Absence toujours à vos côtés

etincelle2020 restera pour tous une année à part avec cette épidémie qui aura affecté certains d’entre vous et dont nous avons tous eu à subir les effets. Dans ce contexte, Apprivoiser l’Absence a poursuivi son chemin à vos côtés. Nous avons maintenu le lien avec les parents, les frères et sœurs endeuillés tout au long de l’année.

Nous envisageons, si le confinement se poursuit, de créer et de maintenir les groupes existants et futurs, au moyen de visioconférences même si nous sommes conscients de la frustration, de l’imperfection de cette communication par rapport au “présentiel” comme on dit aujourd’hui.

Cette année, malgré tout, la vie de l’association s’est poursuivie: un nouveau président a été désigné; les bénévoles se sont concertés pour répondre au mieux aux demandes des parents, des frères et sœurs dans nos différentes antennes; cinq lettres d’information sont parvenues via internet à tous nos adhérents et à nos différents contacts dans les hôpitaux, les écoles d’infirmier-e-s (IFSI), etc. Nous réfléchissons d’ores et déjà à une reprise normale de nos activités au plus vite.

Nous remercions celles et ceux qui ont répondu à notre sollicitation financière au cours des dernières semaines. Ce soutien est primordial pour poursuivre notre activité. Car, pandémie ou pas, des parents, des frères et sœurs continuent à être cruellement frappés par la perte d’un être cher et ont besoin d’aide. Plus que jamais dans cette époque troublée, nous devons répondre à leurs demandes.

Nous vous souhaitons une fin d’année aussi douce et sereine que possible.

Les bénévoles d’Apprivoiser l’Absence

Un commentaire

  1. Je ne remercierai jamais assez cette association qui nous a permis de continuer
    notre vie après le départ de notre enfant. La souffrance est toujours présente, elle
    réapparait sans qu'on s'y attende, sournoisement et cruellement.

    On ne guérira pas mais nous sommes passés dans l'acceptation après quatorze ans de travail personnel
    et collectif (parents et amis du groupe de parole). J'ai malgré tout des moments de souffrance où je me retrouve anéanti, sans force et dans l'obligation de m'isoler pour ne pas infliger ma douleur à ceux qui m'aiment.

    Il m'arrive de penser que j'aurais aimé devenir amnésique pour ne pas me souvenir et surtout ne pas souffrir.

    Merci encore à vous tous

    Louis

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